Le parc le plus achalandé de tous les établissements de la Sépaq au Québec : plus de 900 000 personnes ont visité le parc national du Mont-Saint-Bruno l’an dernier
Le parc national du Mont-Saint-Bruno continue de fracasser les records en étant l’établissement de la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) le plus fréquenté au Québec.
Au cours de la saison 2017-2018, 931 000 personnes ont franchi les tourniquets du parc, soit pour y marcher dans les sentiers, pour y faire une balade au sommet, pour y faire de la raquette ou du ski de fond ou encore pour participer à une des nombreuses activités d’interprétation offertes dans le parc dont le fameux salon de thé!
En comparaison, le parc national des Îles-de-Boucherville a accueilli seulement 213 000 personnes au cours de la même période. Statistiquement, le second parc national le plus populaire au Québec est le parc d’Oka avec 728 000 visiteurs en 2015-2016, suivi du parc du Mont-Orford avec 524 000 visiteurs annuellement et du parc du Mont-Tremblant avec 495 000 visiteurs. Ici, en région, le parc de la Yamaska, près de Granby, accueille environ 160 000 personnes annuellement avec une hausse à 215 000 en 2016.
Au fil des ans
Le parc national du Mont-Saint-Bruno reçoit, bon an mal an, plus de 825 000 visiteurs.
En 2009-2010, 827 000 personnes se sont rendues au parc. En 2010-2011, 969 000 visiteurs, un record. En 2011-2012, une chute de plus de 100 000 avec une fréquentation de 844 000. La chute se poursuit l’année suivante avec 836 000 visiteurs. 2013-2014 n’est guère mieux avec une autre chute pour un nombre total de visites de 776 000. Petit rebond l’année suivante avec 790 000 visiteurs.
À partir de 2015, le parc accueille 954 000 personnes, un record. En 2016-2017, 922 000 personnes vont se balader au parc du Mont-Saint-Bruno, alors qu’en 2017-2018, ce sont plus de 931 000 amateurs de plein air qui s’y rendent.
Le parc du Mont-Saint-Bruno propose une offre de service intéressante et quatre saisons avec son réseau de sentiers praticables hiver comme été. Les aléas de la température et les soubresauts de nos récents hivers ont évidemment une incidence directe sur la fréquentation du parc, ce qui explique parfois les écarts entre certaines années.