Cours d’école en milieu défavorisé : Catherine Fournier signe un gain important
COMMUNIQUÉ La députée de Marie-Victorin, Catherine Fournier, est fière de signer un gain majeur pour sa circonscription : les modalités du programme d’embellissement des cours d’école ont été revues par le gouvernement, qui hausse le financement par projet et priorise désormais les écoles en milieu défavorisé.
« L’un de mes principaux engagements électoraux était de faire avancer les projets de rénovation des cours d’école dans Marie-Victorin, plusieurs étant complètement vétustes et exempts de verdure.
Dans la dernière année, je suis intervenue à plusieurs reprises auprès du ministre de l’Éducation
Jean-François Roberge pour que les modalités de financement du programme gouvernemental d’embellissement des cours d’école soient revues pour permettre aux écoles en milieu défavorisé, où la collecte de fonds est difficile, de recevoir aussi leur part du gâteau », a rappelé Mme Fournier.
« Dorénavant, les écoles ayant une cote de 9 et 10 sur l’échelle de défavorisation seront priorisées pour les projets de réfection des cours et le plafond de contribution gouvernemental doublera de 25 000$ à 50 000$, en plus de faire passer la proportion de contribution de la communauté de 60% à 40% », a-t-elle exposé. Le Devoir a rapporté mercredi que nouvelles modalités du programme ont été communiquées aux commissions scolaires le 31 octobre dernier.
« Ainsi, mes démarches ont commencé à porter fruit. Je salue la hausse du financement décrétée par Jean-François Roberge, mais j’estime qu’il faut aller encore plus loin. Alors que le gouvernement investit cette année 2,3 milliards de dollars pour les bâtiments scolaires, le ministre avait promis qu’il consacrerait ‘’une partie’’ de cette somme aux cours d’école… Avec une enveloppe totale de 5 millions de dollars, le programme d’embellissement des cours reçoit seulement l’équivalent de 0,002% de ce budget. De plus, la proportion de contribution de la communauté devrait être établie en fonction du milieu, et non pas être uniforme partout. », a-t-elle poursuivi.
« Bref, il reste du travail à faire. Les écoles en milieu défavorisé comme l’École Hubert-Perron
auront besoin de beaucoup plus pour mener à terme leur important projet de cour. Mes concitoyens peuvent compter sur moi pour la suite, car je ne lâcherai pas le morceau! », a conclu la députée indépendante de Marie-Victorin.