L’OLYMPIADE DE LA VIE… : Le coronavirus et le confinement inspirent une œuvre à l’artiste peintre Gabriel Landry
COMMUNIQUÉ: L’OLYMPIADE DE LA VIE… Ou l’occasion, pour la très grande majorité d’entre-nous, de renforcer notre système immunitaire, et ce, tout en faisant grandir notre conscience humanitaire ?
C’est la question que s’est posée en ces temps de confinement, l’artiste peintre Gabriel Landry, question qui lui a également servi de prémisse pour peindre, dans le style qu’on lui reconnaît et qu’il qualifie de symbolisme-cloisonniste, un tableau qu’il intitule L’OLYMPIADE DE LA VIE… .
En introduction d’un texte portant sur la symbolique de ce tableau, il écrit ceci : comme le veut l’expression, « dans la vie, rien n’arrive pour rien » et en cette période de confinement due au coronavirus, il va sans dire qu’un laps de temps s’impose avant ce retour à la vie normale que tout le monde espère à plus ou moins brève échéance. D’où l’utilisation, dans le titre de cette œuvre, du mot « Olympiade » que l’on définit comme une « période de quatre ans entre deux célébrations des Jeux olympiques ».
Quand je peins un tableau, dit l’artiste peintre, « je réfléchis sur les mots. Alors que mon tableau, lui, réfléchit les mots ». Et pour réaliser cette œuvre, les mots sur lesquels il a choisi de porter sa réflexion, font l’objet de symboles à partir desquels il invite le regardeur à réfléchir avec lui. Ainsi y retrouve t-on, dans L’OLYMPIADE DE LA VIE… , des anneaux à l’image des Jeux olympiques auxquels il fait référence en tenant ce propos : « Sans doute aurez-vous compris, comme moi, que l’effort à livrer par l’humanité dans le but de venir à bout de l’épreuve que nous traversons présentement, pourrait aisément être qualifié d’effort olympique. À la différence près, espérons-le, qu’un tel effort soit fait non pas dans un esprit de compétition, mais bel et bien dans un esprit de solidarité universelle et humanitaire ».
On y observe aussi dans cette oeuvre le symbole du Yin et du Yang qui se dessine dans un cercle symbolisant la Terre, cercle dans lequel un œil vigilant et le coronavirus sont également illustrés. Ce à quoi Gabriel Landry ajoute : « Comme toute autre forme de dualité qui nous est à la fois opposée et complémentaire, le coronavirus a trouvé le moyen d’habiter l’humain que nous sommes. Celui-ci, dans son opposition et sa complémentarité, aura su cependant, tout en causant la mort de plusieurs d’entre-nous, permettre aux autres de renforcer leur système immunitaire et par la même occasion, osons le croire, nous rendre plus humains. Faisant référence aux mains qui apparaissent dans son tableau, il écrit que : « ces mains, quant à elles, en cette période de fragilité pour l’Humanité, formulent en quelque sorte un souhait : celui que le coronavirus, une fois maîtrisé, aura eu pour bienfait de nous apprendre, Peuples de la Terre, à se serrer les coudes, pour ensuite, espérons-le, nous apprendre aussi à se tendre la main plutôt qu’à présenter le poing ».
Gabriel Landry termine sa réflexion sur ces mots : « si l’arc-en-ciel semble devenu le symbole d’espoir d’une humanité en plein désarroi, la colombe, quant à elle, se veut à la fois symbole de paix, d’harmonie, d’espoir et de bonheur retrouvé. C’est ce que je NOUS souhaite! ».
On peut visiter le site de l’artiste au : www.gabriellandry.com